lundi 17 décembre 2012

La corrida de Noël : 2 podiums pour la section

De : Irondino 
Super Dimanche pour la corrida, même pas froid, limite matinée de printemps.

En tout cas belle moisson pour nos anciens :
·         2 V1 pour Philippe
·         3 V2 pour Michel

Dommage que mon ami Bourbon faisait des bulles dans l’eau, ça aurait fait un podium de plus.

Les seniors sont encore rentrés bredouilles ! La morale de l’histoire heureusement qu’il reste des vieux en état de marche.


De : Gilles  
Bravo à tous.
Je vois en particulier que Michel à améliorer sa performance de l’an passé.

De : Combes Philippe  
Je perds 27s par rapport à l’an dernier (normal car c’est une reprise pour moi) mais je gagne 16s par rapport à 2009 où j’avais fait 22 :15
Merci à Adrien qui m’a servi de lièvre de luxe sur le deuxième tour !

Résultats :
Combes Philippe  21'59  2° VH1
Pinget Michel 24'14 3° VH2
Martins Irondino : 20'25 6°SH
Guiomar Adrien : 21'56 13°SH

Voir les photos : ici
L'Origole : un trail sélectif!
Sur les 6 personnes ayant pris le départ (Dominique, Etienne, Jacques, Jean François, Didier et Nicolas), seule 1 personne à l'arrivée pour cause de barrière horaire...

Voici le récit d'Etienne : ici



lundi 22 octobre 2012

Les 10 kms de Saint-Cloud


DASSAULT SPORTS remporte la première place par équipe ... Gilles Bourbon  1er V2 malgré une victoire un peu ternie par le fait qu'il n'arrivera pas à rattraper Bruno ...

Récit d'Olivier Girard ...

Très sympa ce 10km.

Comme sur le triathlon, les novices font un petit résumé, je vous propose le mien en quelques lignes :

Nous arrivons avec Madame pour nous échauffer (petite course petites foulées de 20 minutes), ce qui nous permet de repérer les parcours « boueux » et nous croisons la plupart des DA qui font de même.
Le moment du départ arrive assez vite et comme il s’agit de mon 1er 10 km, je décide de me placer au niveau de Bruno pensant que Gilles allait mettre en pratique son vieil adage « partir plus vite permet d’arriver plus tôt ». Lire la suite ... 

dimanche 14 octobre 2012

EKIDEN de Taverny 2012
Nous étions 24 ce dimanche pour l'Ekiden de Taverny (record battu pour ce type d'épreuve). 4 équipes de 6 dont une équipe 100% féminine sont venu affronté les rigueurs de l'automne pour parcourir un Marathon par équipe. L'ambiance était au rendez-vous avec en particulier les encouragements de Marie. Cette année, nous avons remporter les titres chez les hommes et chez les filles. Bravo aux 2 équipes. L'équipe sénior finit 3° de la course avec moins d'une minute de retard sur les premiers.
Cette belle matinée de sport s'est poursuivi de manière particulièrement conviviale chez les Robert qui nous ont ouvert les portes de leur maison pour un super pique-nique en musique (grâce à Bruno et Margaux). Un immense merci à eux pour cet accueil si chaleureux et spontané.
Pour ceux qui sont déjà nostalgique, voici les photos de l'évènement :
album photo
Voici également le lien vers les résultats :
Résultats bruts

mardi 9 octobre 2012

Les championnats de France de course nature à Fontenay sur Eure en image
la course jeune
Le podium de Nicolas
Les adultes avant la course
encore serein
le podium V1
Le podium Sénior
La famille Ruel après la course
Le podium par équipe

lundi 24 septembre 2012

Saint Joseph : un weekend festif et convivial

Ce weekend, la section était de sortie pour un weekend à St Joseph.

Les 11 participants aux différentes épreuve (marche, course nature de 17km, trail de 33km entre Lyon et St Etienne) ont bien apprécié cette organisation très bien rodée et très conviviale.

Cette course "Courir pour des pommes" nous a même permis de revenir à Paris avec chacun un cageot de pommes issues des vergers du coin.

D'autres détails sur cette sortie viendront surement...

dimanche 17 juin 2012


Un petit compte -rendu du marathon et semi de la liberté (Caen 10/06/12) :

L’effectif était décimé : François Hardy entamé par ses 187 km ( ???), Christophe Floch par un tacle au foot (entorse).

L’organisation était parfaite, sur le marathon, pour le déplacement (merci la section athlé), l’hôtel (entre les bus de départ et l’arrivée, merci François), le coaching, tout.

Repérage du parcours près de la mer samedi après midi, sous le soleil, avec les commentaires toujours positifs de Philippe.

Des prévisions pluvieuses et venteuses ajoutaient au suspense du départ, de même que la saine émulation régnant entre Philippe (Bouchery) et Marc (Houzelot).

Dimanche matin, réveil à 6 heures. Philippe, atteint par le plat mangé la veille ou une gastro traitre, qui l’a conduit à une séance nocturne de fractionné lit/toilettes tenait à peine debout à l’arrêt, ce qui a ajouté une défection inattendue ((Nous n’avons pas encore la totalité de son CR sur sa visite du dessous de couette de l’hôtel, mais nous vous le ferons parvenir dès que dispo).

Restaient 4 partants pour le marathon et Claire (Soudais) affrontait seule le semi… Départ par les bus, à côté de l’hôtel, à 7h20. Arrivée au point de départ vers 8h.

Une bonne pluie battante nous fait claquer des dents pendant toute l’heure avant le départ, tassés sous un arbre assez étanche…. Abri partagé par quelques coureurs…

8h55, il était temps de bouger de notre abri et d’aller vers la ligne de départ. Comme tout le monde avait attendu le dernier moment pour ne pas se faire rincer plus que nécessaire, c’était un joyeux bordel. Mais on n’était pas trop nombreux (1399), donc cela s’est remis en ordre rapidement.

Après le départ sous la pluie, le climat est rapidement devenu plus clément, quasi sec tout du long. Au bout de quelques kilomètres, les coureurs quittaient leur sac poubelle (mais les plus prudents les conserveront à la main jusqu’à la fin).

Première partie assez roulante, très agréable, jusqu’à Ouistreham, avec un peu de vent (pas trop gênant), puis le long du canal qui va vers Caen. Ensuite on rentre dans une série de patelins, avec une jolie côte pour aborder l’après 25kms. Vers la fin, un passage sur chemin de promenade pour épargner ce qui reste d’articulations.

Organisation nickel : ravitaillements au vol et épongeages réguliers, autochtones ne craignant pas la pluie assez nombreux sur le passage pour encourager les coureurs.

Pour Laurent, crampes d’estomac au 23eme, pathologie similaire à celle de Philippe B. Arrêt non loin d’un bosquet, dès fois que … Velléité très forte d’abandon … Mais non, le mental doit être plus fort. A partir de là, l’objectif initial, déjà revu à la baisse, sera abandonné dans la simple perspective de finir, et autant que possible, dignement...

Les 3 autres élèves de coach Laurent battent leur record personnel de 6’ (Richard Fontaine), 11’ (Marc), 19’ (Paul Soudais). Merci donc à nos 2 coachs (Moustapha et son adjoint Laurent qui a surveillé que l’entrainement de Moustapha était scrupuleusement suivi).

L’histoire retiendra le deuxième challenge marathon Philippe / Marc a été remporté haut la main par ce dernier.

La dégustation de produits normands était bien sympa à l’arrivée…

Claire est arrivée depuis plus d’1h30, douchée, reposée… Elle se la pète un peu, à côté des marathoniens bien crevés…
Elle a de nouveau battu son record du semi (3 mois après Rueil !), cette fois de 8’, elle va bientôt passer sous les 2h !!! 2h02’28’’ sur semi, 103eme sur 250.

Les scores :

Clas.
Nom
Cat.
Club
Temps officiel
Temps réel
Clas. Cat.
1
ABDISA Sorri (Eth)
SEM

2h12'37''

1
397
SOUDAIS Paul
V1M
Dassault Sports
3h39'59''
3h39’44’’
199
552
LEMERCIER Laurent
V1M
Dassault Sports
3h51’55"
3h51’30’’
262
606
FONTAINE Richard
V2M
Dassault Sports
3h55’19"
3h54’29’’
103
741
HOUZELOT Marc
V1M
Dassault Sports
4h04’23"
4h03’34’’
339
1103
HOSSAIN Syeed (Bfr)
V1M

5h32’26"

450
Laurent et Paul

lundi 16 avril 2012

Bonjour,

Malgré quelques désistements suite à blessures, pas moins de 14 personnes de la section ont affronté ce week-end les 42km du Marathon de Paris. La température était plutôt fraiche à 8h45 et le vent se faisait déjà sentir. Malgré cela, tous sont allés au bout de cet effort. Plusieurs ont même battu leurs records. Frédéric a rassemblé les résultats dans le fichier Excel joint (il manque celui de François Hardy, Laurent Guyot et peut-être d’autres ?). J’y ai ajouté quelques courbes. On y voit que les anciens sportifs de haut niveau (Mauresmo et Jalabert) accélèrent tout au long du Marathon. Les difficultés rencontrées par certain à partir du 30°km (voir avant) se voit bien et l’on mesure tout l’effort et toute la volonté qu’il faut pour aller au bout.

Un grand bravo à tous

Ci-joint les récits d'après course de certains : lien

Les résultats

mercredi 28 mars 2012


Ce week-end, 12 coureurs de la section ont participé à l'ECOTRAIL de Paris.

Voici le récit d'Etienne :

ECOTRAIL DE PARIS-ÎLE DE FRANCE : RÉCIT D’UN COUREUR FATIGUÉ, MAIS CONTENT.

C’est toujours pareil pour une course qu’on prépare depuis longtemps, à laquelle on a pensé tous les jours depuis des semaines : le jour de la course, on a du mal à se dire que c’est réel, que c’est bien pour aujourd’hui, que la vraie course va commencer. Ca n’est qu’au top départ, quand on commence à mettre un pied devant l’autre, qu’on entend le tap-tap-tap des chaussures et qu’on sent le sol sous ses pieds, qu’on commence à y croire vraiment, que la réalité de la course se cristallise. Toute la matinée, je suis donc sur mon nuage : quand je me réveille le matin avec le sac préparé de la veille et de l’avant-veille, sur le quai de la gare qui m’emmène à St-Quentin-en-Yvellines, dans le bus navette au milieu des autres coureurs, jusque dans le sas de départ…

Le départ donné, je me mets à courir en restant bien concentré. Tous me l’on dit : ne pas démarrer trop vite. Je m’attache donc, dans toute cette première partie plate autour du lac de la base de loisir, de retenir ma foulée, et aussi à ne pas me torde le pied sur les trous et les bosses des étendues herbeuses que nous traversons. Beaucoup me doublent, c’est pas grave… Nous sortons de la base de loisir, traversons une passerelle qui se gondole avec une amplitude impressionnante au passage des coureurs. Ca fait presque une heure que nous courons, je n’ai pas vu le temps passer. Juste avant de rejoindre les bois, j’entends l’encouragement de Lionel, venu nous soutenir. C’est un plaisir, la course commence bien, les jambes sont légères, il fait beau : j’ai l’impression que je pourrai continuer comme ça jusqu’au bout du monde… Impression trompeuse !

Nous passons quelques étangs et attaquons notre première belle montée. « C’est la plus longue du parcours » nous lance un spectateur. Dans les bavantes de la suite, je me souviendrais de lui, car cette première montée se grimpe sans souci, ce qui ne sera pas forcément le cas des suivantes (mais je crois qu’il avait raison). Quelques effluves de barbecues en passant près des maisons en bordures de forêt, on se croirait en vacances. Au premier ravitaillement, à Buc, au km22, superbe ambiance. Je mange des morceaux de bananes, boit presque un litre d’eau d’une traite (il fait bien chaud), remplit la poche à eau à ras bord, et je repars aussitôt. La bonne nouvelle, c’est qu’il y a des bouteilles au ravito, et que je n’ai pas à sortir la poche à eau du sac pour la remplir : c’est un détail bêbête, mais ça me donne le moral ! Il est 14h25, je commence à me dire que les 10h00 ne sont pas impossibles.

C’est reparti pour le gros morceau, entre le km22 et le km45 à Meudon. Ca cours, ca cours… Vers le trente-cinquième km, je sens les jambes qui deviennent dures et douloureuses, au niveau du quadriceps et du mollet. Le parcours virevolte, vers le Nord, vers l’Ouest, vers le Sud… Au soleil, j’ai l’impression qu’on ne va jamais vers l’Est, alors que Meudon, c’est franchement à l’Est ! L’inquiétude me gagne au fur et à mesure que les jambes se durcissent. Je commence à voir pas mal de coureurs arrêtés sur le bord du chemin, les traits tirés. Visiblement, la chaleur fait des dégâts… J’ai bien fait de partir léger : short, débardeur et casquette (celle de la Course du Cœur !), le coupe vent restera dans le sac à dos jusqu’à la Tour Eiffel. Arrivée à Meudon, à coté des serres de l’école d’horticulture des Orphelins d’Auteuil, le cadre est splendide et l’eau fraiche… Là encore, j’essaie de ne pas m’attarder et je repars une fois les niveaux refaits. Passage par les jardins de l’Observatoire de Meudon, peut-être la plus belle portion du parcours, avec le chaud au cœur des encouragements du public. On voit les familles jouer sur les pelouses et recueillir les rayons du Soleil de fin de journée. A la sortie, au km47, contrôle des sacs (tout le monde y passe) : frontale, couverture de survie, brassard. Tout est OK, et on repart vers le ravito de Chaville. Quelques longues lignes droites, plates, dans la forêt de Meudon.

Dans les montées, on peut marcher. Dans les descentes, on laisse filer, ça fait un peu mal, mais on déroule quand même. Le plat, c’est le plus dur, il faut se forcer à courir même si les jambes font mal. Je m’encourage en anglais (ne me demandez pas pourquoi…) : « Keep on running ! Keep on running ! ». Heureusement, le ravitaillement de Chaville n’est pas trop loin, seulement 13 km. J’y arrive vers 17h15, toujours accueilli par un public, pas très nombreux certes, mais chaleureux. Du coup, je cours dans la dernière montée, pas très longue il faut dire… Je retrouve mon copain Benoît, bénévole avec moi sur le semi de Rueil. C’est lui qui sert la soupe aux nouilles : j’en prends trois bons bols. Un régal ! J’appelle ma femme pour lui dire de venir me chercher à la Tour Eiffel, car je ne me vois pas reprendre le métro après ça. Je lui confirmerai en sortant du Parc de Saint-Cloud, mais je pense y être vers 22h00 si les jambes tiennent. Je promets de suivre ses conseils de prudence, mais à partir de ce moment-là, je suis certain d’aller jusqu’au bout quoiqu’il arrive, même en rampant… Quant aux dix heures, je commence à y croire vraiment.

Dur de se lever de la chaise, mais il faut y aller. J’aborde la Forêt de Fausses-Reposes avec joie : des montées, des descentes, pas beaucoup de plat ! Les étangs, un petit tour encore dans les bois au crépuscule. Le jour tombe très vite. Au détour d’une route, les organisateurs nous font mettre la frontale. Quand je me baisse pour ramasser la pile de rechange que j’ai fait tomber, je m’aperçois à quel point les jambes sont raides. Je suis tendu vers le dernier ravitaillement, celui de Saint-Cloud, vers le km65 (à ce stade-là, je ne sais plus bien), sur mes terres d’entraînement, dans les sentiers dont je crois connaître chaque caillou. De nuit, je suis un peu désorienté, mais content de retrouver mes marques. Dernière halte, je bois et mange un peu, mais les aliments et l’eau ont du mal à passer. 20h20, je suis reparti. En arrivant sur les quais, je confirme à mon épouse : ce sera 22h00 !

La fin est longue et plate. Sauf tout ces petits escaliers qui vous fusillent les jambes pour passer des quais aux ponts et vice-versa. Le long des quais d’Issy, sur les péniches, ça sent presque la fin de soirée d’été, les vacances, quand on finit les bouteilles du repas en discutant mollement… Pour moi, c’est l’heure du questionnement métaphysique : mais qu’est-ce que je fous là ? Pas de réponse, si ce n’est de continuer, à coup de « 3 – 2 – 1 – GO ! » prononcés à haute voix pour me remettre à courir, jusqu’au pont, à la voiture blanche, au prochain escalier, au bout du trottoir… Je regarde ma montre toutes les deux minutes, et je commence à me dire que ça n’est pas gagné. Discussion avec un coureur aussi vanné que moi en regardant la Tour Eiffel, toute éclairée devant nous : « Elle est à combien maintenant ? – 4 km – Oh non ! Deux et demi ! Tu crois pas ?– Non, mais j’espère que c’est toi qui a raison… ».

L’Île aux Cygnes, le Pont de Bir-Hakeim, je prends mon gel « coup de boost » en vue des escaliers de la Tour Eiffel. Il est 21h50, ça va être juste… J’émerge du quai en face de la Tour, du monde, des touristes, des encouragements. Il faut attendre au feu pour traverser la chaussée (« Piétons, attention, traversée en deux temps »). Derniers mètres avant l’escalier au milieu de la foule, entre les barrières. Maintenant je cours à nouveau, sans effort tellement je suis content. J’enquille l’escalier deux marches par deux marches, en tirant sur la rampe. Arrivé sur la plate forme, je cherche des yeux l’arrivée. Elle est à dix mètres. Quelques foulées et ça y est !

L’aventure est finie. 9h58 : je n’en reviens pas…


Lien vers le récit de Jacques

Voici l'album photo de Serge : eco-trail 2012

L'album de Lionel : ici

Les résultats. Sabrina a également terminé le 18km.

dimanche 5 février 2012

Le Raid 28 ... une sacré balade ...

Comme on a un peu l’habitude de raconter les épreuves auxquelles on participe, voici un bref récit du Raid 28 auquel j’ai participé le week-end dernier. Au programme, il va falloir parcourir à pied et en autonomie totale depuis Houdan entre 85 et 110 km, selon les options de la CO et les prouesses des orienteurs, et arriver le lendemain à Bures-sur-Yvette avant 16h00.
L’équipe est composée de Loïc (le capitaine), Pierre-Emmanuel (dit P-E), Edouard - trois grands amis depuis une dizaine d’année, Gregory (un collègue de P-E) et moi (la féminine). C’est la première fois que je m’aligne sur une course aussi longue. Depuis le retour des congés, j’attends cet évènement avec impatience, j’enchaîne les entrainements à la piste et les sorties longues dans Boulogne (entrecoupés d’une séance de piscine pour se donner bonne conscience ☺. Au menu de la dernière semaine, un régime de glucides et des sorties de 50 minutes. Par contre, je commence à paniquer, j’appréhende un peu le week-end qui arrive, j’ai peur de décevoir les quatre jeunes hommes qui m’accueillent parmi eux et de ne pas avoir ma place dans l’équipe malgré une bonne préparation. Lire la suite sur plus d'infos  ...